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SENATOR SMITH: To the operating room?
MR. BRIDE: Yes, sir.
SENATOR SMITH: What did the captain say?
MR. BRIDE: He told us that we had better get assistance.
SENATOR SMITH: Can you tell us in his language?
MR. BRIDE: That is exactly what he said. He said, "You had better get assistance." When Mr. Phillips heard him he came out and asked him if he wanted him to use a distress call. He said, "Yes; at once."
SENATOR SMITH: Who sent this call?
MR. BRIDE: Mr. Phillips.
SENATOR SMITH: He responded to the captain's desire?
MR. BRIDE: Yes, sir.
SENATOR SMITH: And you turned the apparatus over to him?
MR. BRIDE: Yes, sir.
SENATOR SMITH: Was the message sent immediately?
MR. BRIDE: Immediately.
SENATOR SMITH: Do you know what the message was?
MR. BRIDE: Yes.
SENATOR SMITH: Please state it.
MR. BRIDE: C. Q. D. about half a dozen times; M. G. Y. half dozen times.
SENATOR SMITH: Will you kindly explain the meaning of these letters or that code?
MR. BRIDE: C. Q. D. is a recognized distress call; M. G. Y. is the code call of the Titanic.
SENATOR SMITH: Is C. Q. D. in itself composed of the first letters of three words, or merely a code?
MR. BRIDE: Merely a code call, sir.
SENATOR SMITH: But one recognized by operators as important and as a distress call?
MR. BRIDE: Yes, sir.
SENATOR SMITH: How long after that call was sent out was it before you got a reply?
MR. BRIDE: As far as I know, immediately, sir.
SENATOR SMITH: Within two or three minutes?
MR. BRIDE: You see I could read what Mr. Phillips was sending, but I could not get the answers because he had the telephones.
SEATOR SMITH: You knew what he had sent, but you did not know what he received in reply?
MR. BRIDE: No, sir.

LE SÉNATEUR SMITH : En salle d’opération?
M. BRIDE : Oui, monsieur.
LE SÉNATEUR SMITH : Qu’a dit le capitaine?
M. BRIDE : Il nous a dit que nous ferions mieux d’obtenir de l’aide.
LE SÉNATEUR SMITH : Pouvez-vous nous le dire dans sa langue?
M. BRIDE : C’est exactement ce qu’il a dit. Il m’a dit : « Vous feriez mieux de demander de l’aide ». Lorsque Monsieur Phillips l’a entendu, il est sorti et lui a demandé s’il voulait qu’on utilise un appel de détresse. Il a dit, "Oui, tout de suite."
LE SÉNATEUR SMITH : Qui a envoyé cet appel?
M. BRIDE : Monsieur Phillips .
LE SÉNATEUR SMITH : Il a répondu au désir du capitaine?
M. BRIDE : Oui, monsieur.
LE SÉNATEUR SMITH : Et vous lui avez remis l’appareil?
M. BRIDE : Oui, monsieur.
LE SÉNATEUR SMITH : Le message a-t-il été envoyé immédiatement?
M. BRIDE : Immédiatement.
LE SÉNATEUR SMITH : Savez-vous quel était le message?
M. BRIDE : Oui.
LE SÉNATEUR SMITH : Veuillez le dire.
M. BRIDE : C. Q. D. environ une demi-douzaine de fois; M. G. Y. une demi-douzaine de fois.
LE SÉNATEUR SMITH : Pourriez-vous nous expliquer le sens de ces lettres ou de ce code?
M. BRIDE : C. Q. D. est un appel de détresse reconnu; M. G. Y. est l’appel codé du Titanic.
LE SÉNATEUR SMITH : Est-ce que C. Q. D. est en soi composé des premières lettres de trois mots, ou simplement d’un code?
M. BRIDE : Simplement un appel de code, monsieur.
LE SÉNATEUR SMITH : Mais reconnu par les opérateurs comme important et comme un appel de détresse?
M. BRIDE : Oui, monsieur.
LE SÉNATEUR SMITH : Combien de temps après que cet appel a été envoyé était-il avant que vous ayez une réponse?
M. BRIDE : Autant que je sache, immédiatement, monsieur.
LE SÉNATEUR SMITH : Dans les deux ou trois minutes?
M. BRIDE : Vous voyez, je pouvais lire ce que M. Phillips envoyait, mais je ne pouvais pas connaître les réponses parce que j’avais le casque.
LE SÉNATEUR SMITH : Vous saviez ce qu’il avait envoyé, mais vous ne saviez pas ce qu’il avait reçu en réponse?
M. BRIDE : Non, monsieur.

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